La comparaison biologique entre la femme et l'homme indique que l'espèce humaine est celle où le dimorphisme sexuel est le moins marqué au sein des hominidés.
Les différences biologiques les plus évidentes entre les hommes et les femmes comprennent toutes les fonctionnalités liées à la procréation, notamment les endocriniens (hormonaux) et leurs effets physiologiques et comportementaux, y compris la différenciation des gonades, organes génitaux internes et externes, de la poitrine, de la masse musculaire, de la hauteur et la distribution de la pilosité.